SlateAfrique — Lors de la présidentielle de décembre 2010, regrettez-vous d'avoir affiché vos préférences politiques?
A.B. — Non. Mais pas en Afrique, c’est dangereux de s'engager en politique. Celui qui voudrait me donner un poste et faire de moi un ministre, j’appelle les flics. Je me dirai [...]
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